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Histoire de la France médiévale/La France chrétienne

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La France chrétienne

Histoire de la France médiévale

La France chrétienne

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Catégorie : Histoire > Histoire de la France médiévale


La société médiévale se définit et se confond avec l’Église et la chrétienté. La liberté religieuse, telle qu'on l'entend aujourd'hui, n'existe pas pour les Hommes du Moyen Âge : au XIIIe siècle, on naît chrétien, puisque le baptême est administré peu de temps après la naissance de l'enfant. Le mot "Église" (du grec ecclesia qui signifie assemblée) renvoie à partir du XIIe siècle à l'institution cléricale hiérarchisée. La "Chrétienté" rassemble l'ensemble des fidèles.

L'Église dispose d'un pouvoir considérable : elle peut interdire l'accès des croyants au Paradis par l'excommunication. Ainsi, le pape peut condamner le roi de France. Elle connaît un processus de centralisation à partir du XIe siècle qui fait du pape le chef de millions d'âmes : à la fin du XIe siècle, Urbain II lance un appel à la croisade qui sera entendu au quatre coins de l'Occident. Le clergé détient le monopole de la culture et de l'enseignement. Les grandes abbayes disposent de revenus importants et les évêques font sortir de terre des cathédrales aux dimensions exceptionnelles.

L'encadrement religieux : la paroisse en France

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  • Les canons des conciles œcuméniques et les statuts des synodes donnent un aperçu normatif sur la vie paroissiale : les conciles de Latran insistent sur l'obligation de rigueur morale du clergé et des fidèles.
  • Les registres des visites pastorales des évêques ; les évêques doivent rendre visite aux curés de leur diocèse afin de contrôler leur activité : ils inspectent les revenus de la paroisse, l’état des bâtiments et du mobilier liturgique. Nous conservons des comptes-rendus de ces tournées. L'un des plus intéressants est celui d’Eudes Rigaud, archevêque de Rouen entre 1247 et 1276.
  • Les comptes de fabrique, conservés à partir du XIIe siècle. La fabrique est une institution chargée de gérer les bâtiments et le mobilier de la paroisse.
  • Les registres de l’officialité consignent les décisions relevant de la justice de l’Église, confiée à l’évêque puis, à la fin du XIIe siècle, à un clerc de son entourage, l’official. Celui-ci peut prononcer des peines spirituelles (excommunication, censure …), administratives ou civiles.

La paroisse (du latin parochia) définit un cadre d’organisation locale pour la communauté des fidèles. Il s’agit d’un territoire dont les limites sont parfois floues pour les Hommes du Moyen Âge. Ce territoire est confié à un desservant, le curé (N.B. que le mot « curé » n’apparaît dans les sources qu’au milieu du XIIIe siècle[1]). Dans la hiérarchie ecclésiale, la paroisse appartient à un diocèse et se trouve sous l’autorité d’un évêque. Plusieurs diocèses forment une province ecclésiastique.

La paroisse se met en place à partir du VIe siècle[2] et se diffuse parallèlement à l’évangélisation progressive de l’Occident. La paroisse est aussi une communauté de fidèles qui se retrouve dans l’église et qui doit payer la dîme depuis le VIIIe siècle.

Évolution de la paroisse en France

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Haut Moyen Âge

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Les temps mérovingien et carolingien sont marqués par une volonté de christianisation des campagnes qui doit s'appuyer sur l’encadrement paroissial. La paroisse est adaptée au caractère rural de cette époque. Les pratiques païennes survivent dans les campagnes occidentales. L’église de l’évêque (la cathédrale) est le principal foyer de la vraie foi. Elle est le lieu où le fidèle reçoit le sacrement du baptême. Les Carolingiens ont voulu faire de la paroisse un instrument de christianisation de la société. L’évêque est alors chargé de contrôler la vie religieuse des paroisses.

Le temps des seigneurs

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Du IXe au XIe siècle, l’église paroissiale et son cimetière offrent un refuge dans le contexte troublé de l’anarchie féodale. Cette période est marquée par une forte intrusion des seigneurs laïcs dans la nomination du desservant et dans la répartition des revenus. Les familles puissantes fondent des oratoires, des chapelles et des églises par souci de prestige et par intérêt personnel. Cela donne lieu à des paroisses aux limites arbitraires, coutumières et artificielles, souvent de petite taille. On assiste donc à une multiplication des paroisses. On peut distinguer trois types de fondations :

  • les fondations d’origine féodale (lieux de culte dans la basse-cour ou le donjon du château fort). Elles sont devenues par la suite des églises paroissiales.
  • les fondations d’origine priorale : le développement des ordres monastiques entraîne l’installation de moines dans une église privée. Ces fondations avaient pour but de faciliter la gestion du patrimoine ecclésiastique, notamment sur les terres viticoles.
  • les fondations liées aux défrichements ; le recul de la forêt permet la mise en valeur de nouveaux terroirs et d’augmenter les revenus de la dîme. Les dîmes perçues sur les terres défrichées s’appellent les dîmes novales (par opposition aux dîmes anciennes).

En échange de la construction d’une nouvelle église, le seigneur exige :

  • D’être inhumé dans l’église, malgré les interdictions canoniales. Le seigneur et sa famille disposent d’une place réservée dans l'édifice pour assister aux offices : ce privilège est aboli par la Révolution française.
  • La fondation de messes pour son salut (« rentes-prières ») et celui de ses ancêtres.
  • Une partie des prélèvements paroissiaux ; on constate une quasi confiscation des revenus de la paroisse par le seigneur collateur[3]. La dîme peut être confiée à un vassal comme un fief. Elle se trouve émiettée entre plusieurs ayant droit et porte sur différents produits (céréales, élevage …) voir sur le commerce, les abeilles ou les moulins.
  • Des services de la part du desservant : porter un message pour le compte du seigneur par exemple.
  • Un droit d’entrée au moment de l’investiture du desservant. Le seigneur laïcs remet au desservant un objet symbolique de son église (corde de cloche ou clé)[4].

Réformes de l'Église

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Devant les différents abus des seigneurs, l'Église se réforme à partir du XIe siècle afin d'échapper à la tutelle des laïcs.

Les premières protestations contre cette ingérence seigneuriale dans la paroisse viennent des moines, en particulier ceux de Fleury. La réforme clunisienne accélère le processus d’autonomie des paroisses : les moines clunisiens sont ordonnés prêtres et disposent d’une influence considérable en Europe occidentale. Le clergé se met à affirmer le principe de restitution des églises et souhaite récupérer tous les revenus qui leur sont liés. Ce mouvement place plusieurs églises rurales sous le contrôle des abbés et des évêques[5]. Cependant, il faut souligner que l’ampleur des restitutions varie d’une région à l’autre et qu'il peut se heurter à la résistance des seigneurs. La restitution des églises profite surtout aux moines noirs qui ont su faire pression sur les laïcs pour récupérer les droits de l'Église. En promettant le salut éternel, les moines mettent la main sur plusieurs paroisses rurales. Si cela ne suffit pas, l’Église peut brandir la menace de l'excommunication. Ce mouvement pose désormais un nouveau problème : celui de l'ingérence du clergé régulier dans un domaine réservé au départ aux séculiers.

Il faut attendre la fin du XIe siècle pour que les activités paroissiales soient interdites aux moines[6]. Au XIIe siècle, la cura animarum est réservée aux prêtres et aux chanoines[7]. L’ordre cistercien interdit aux moines de profiter des revenus paroissiaux.

La réforme grégorienne prolonge cette dynamique : on assiste au relèvement moral du clergé par une lutte contre le concubinage, l’ignorance et la simonie des prêtres. À partir de 1059 (décret de Nicolas II), les papes sont élus par les cardinaux et non plus choisis par l’empereur. Ils sont acclamés par le clergé et le peuple romain. Le pape Grégoire VII (1073-1085) envoie des légats pour déposer les clercs indignes. En 1075, les Dictatus Papae placent le pape au-dessus de tous les princes et seigneurs laïcs. Les conciles rappellent l’interdiction faite aux laïcs de s’approprier les églises. L’Église lutte contre la privatisation de la paroisse en distinguant le temporel et le spirituel. Elle élabore également une définition plus nette de l’église paroissiale : celle-ci doit impérativement être dotée de fonts baptismaux et d’un cimetière. La paroisse devient de plus en plus le lieu où le fidèle reçoit les sacrements.

Multiplication des paroisses urbaines (XIIe-XIIIe siècles)

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Avec le renouveau des villes, les églises de quartier concurrencent désormais la cathédrale. Des paroisses urbaines sont fondées à partir du XIIe siècle pour répondre à la croissance démographique. L’agrandissement des murailles témoignent de cet essor (à Paris par exemple) et entraîne la création de lieux de culte ou la promotion de chapelles au rang d’églises paroissiales. Le clergé régulier a souvent fait obstacle à la multiplication des paroisses. Les statistiques dont l'historien dispose soulignent le phénomène :

  • Louvain (Belgique actuelle) 20 000 habitants, 32 paroisses[8].
  • Rouen compte 35 paroisses au XIIe siècle
  • En 1183, l’évêque de Paris, Maurice de Sully, crée 12 paroisses dans l’île de la cité (élévation des chapelles carolingiennes ou de prieurés au rang d’églises paroissiales). Le mouvement continue à Paris jusqu’au milieu du XIIIe siècle. Vers 1300, environ 37 paroisses de taille inégale [9]. Avec l’élargissement de l’enceinte des paroisses rurales deviennent urbaines.
  • Au XIe siècle, l’Angleterre est découpée en 1700 paroisses. Trois siècles plus tard, elles sont 8 à 10 000.

La fin du Moyen Âge

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Le concile de Latran IV (1215) impose la confession auriculaire annuelle devant le curé. Les paroisses s’enrichissent et la fabrique tient une place de plus en plus notoire dans la gestion des fonds et des bâtiments. Le succès des ordres mendiants au XIIIe siècle crée de nouvelles tensions concernant le partage des revenus de la paroisse.

Avant le XIIIe siècle, on appelle le prêtre de la paroisse «prieur», «recteur» ou «chapelain». Le mot curatus apparaît au XIIIe siècle, au terme de l’évolution de la paroisse.

Les curés sont souvent d’extraction modeste. Certains ont même des origines serviles ; leur vie ressemble à celle des autres paroissiens si bien que les hérétiques estiment qu’ils sont inutiles et que chacun peut diriger la prière. L’entrée dans la cléricature est imposée par la famille, le plus souvent au cadet, pour des raisons fiscales (exemption de taxes) ou judiciaires (for ecclésiastique). L'enfant apprend à lire dans une école élémentaire de la paroisse, du monastère ou de la cathédrale à partir de l'âge de 6/8 ans. Sa formation se poursuit lorsqu’il gravit les ordres mineurs et majeurs, au contact d’autres clercs. Le niveau culturel des curés semblent s’élever progressivement à partir du XIIIe siècle[10]. À l’âge de 30 ans, le curé reçoit l’ordination de l’évêque[11]. Le prêtre de la paroisse possède alors la charge des âmes de sa paroisse.

La réforme grégorienne a combattu les défauts du clergé séculier. Le concile de Latran III en 1179 fixe l’obligation de résidence, de non-cumul (une seule cure) et d’âge minimum ; il exige que les curés soient prêtres. La visite annuelle de l’évêque du diocèse permet de contrôler le niveau d’instruction du curé.

Le curé est le « garant de la tradition chrétienne »[12]. Gardien de l’âme des fidèles dont il a la charge, il doit veiller au salut de tous. C’est pourquoi le curé doit mener une action pastorale en continu : il prononce les sermons au cours de la messe dominicale. La confession représente une occasion d’instruire le fidèle. Le curé recueille les serments de paix, distribue les sacrements, traque les hérétiques.

Il doit assister au synode une à deux fois par an au palais épiscopal : les problèmes de discipline, de morale, de liturgie et de dogme sont rappelés dans les sermons de l’évêque. Le dernier jour, les curés reçoivent la bénédiction de leur évêque. Ils doivent être en possession du livret des statuts sous peine d’amende. Ce livret expose ce que le curé doit savoir et ce qu’il doit faire. Il doit être appris par cœur[13].

La réglementation rappelle certaines obligations : le curé doit porter un vêtement sobre ; il doit s’abstenir de porter une arme, de se divertir avec les jeux de hasard, de faire du commerce, de boire de l’alcool ou de pratiquer l’usure. Le célibat et la chasteté sont imposés aux XIIe et XIIIe siècles.

Malgré les conciles et les réformes, les défauts subsistent encore : paroisse sans desservant, curé vivant en concubinage, hérédité (transmission d’oncle à neveu)

Un clergé hiérarchisé

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Le curé est l'un des maillons de la hiérarchie ecclésiastique au Moyen Âge : il est assisté par des clercs des ordres mineurs :

  • le portier sonne la cloche de l’église et garde les portes ses portes
  • l'exorciste écarte les excommuniés, impose les mains pour chasser les démons
  • le lecteur lit les Écritures pendant l'office
  • l'acolyte apporte les cierges et le vin de messe.

Dans les paroisses importantes, le curé doit payer un vicaire qui peut le remplacer en cas d'absence.

L’institution paroissiale au XIIe siècle

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  • la dîme ne permet pas au curé de vivre.
  • les offrandes, le casuel = au cours des mariages, visites, confession, messe pour les morts ; aux grandes fêtes, les fidèles offrent des cierges ou de l’argent ; les quêtes des messes et des funérailles ;
  • le droit de sépulture : en cas d’usurpation on peut demander à exhumer le corps et l’enterrer dans le bon endroit[14]. Elle constitue la ressource la plus importante du curé : on comprend pourquoi elle devient un enjeu entre les ordres mendiants et les curés des paroisses urbaines au XIIIe siècle. Le casuel sur la sépulture est soit prévu dans le testament du défunt, soit prélevé à hauteur d’un tiers de sa fortune mobilière (tierçage) [15].
  • Le curé dispose aussi d’un jardin qu’il cultive et de rentes foncières. Cela lui procure d’autres revenus. Il peut améliorer ses ressources par l’artisanat.
  • le prélèvement de l’évêque : droit synodal, droit de gîte, une partie de la dîme, un cens.
  • entretien du marguillier, du maître d’école, du vicaire salarié qui remplace le curé en cas d’absence ou qui le seconde dans les grandes paroisses.
  • l’entretien de l’église paroissiale revient au seigneur fondateur, prêtre et fidèles.
  • La paroisse s’organise en communauté : la fabrique est gérée par des laïcs, ce qui est nouveau ; le marguillier est le plus souvent un notable.
  • Les confréries expriment une piété spécifique : elle agit comme une caisse d’entraide (cotisations proportionnelles aux revenus, en général modestes), un lieu de sociabilité et de prières communes ; associations pieuses qui s’éloignent du curé ; but : funérailles dignes, entretien des chemin, chasser les loups ; manifestations : banquet, serment exigé, ouvertes aux femmes => devant cette autonomie, le clergé exprime ses réticences.

La vie des laïcs dans la paroisse

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La paroisse est le cadre de vie quotidienne des laïcs au XIIe siècle

  • Les paroissiens doivent respecter les fêtes chrétiennes et le temps chômé : on a pu calculer que 50 à 60 journées par an devaient être chômées, sans compter les fêtes locales[16]. Le repos du dimanche n’est pas toujours respecté. Le curé peut alors imposer une amende aux contrevenants.
  • L’excommunication : à rédiger.

La paroisse, lieu de services

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  • Les écoles paroissiales se multiplient à partir du XIe siècle, surtout en ville : elles sont tenues par des clercs et sont ouvertes aux jeunes laïcs. Seuls quelques enfants suivent régulièrement l’école paroissiale. Enseignement primaire et éducation religieuse sont liés : les évêques sont appelés à multiplier les écoles paroissiales en ville et à la campagne (concile de Latran IV, 1215).


  • La sécurité et l’asile : l’espace qui entoure l’église est considéré comme inviolable. Dans l’atrium, un enclos protégé qui se couvre d’habitations comme le cimetière. Dans les églises fortifiées (Xe

– XIe siècles) et par les milices de paix levées par les curés (attaque du Puiset).

  • bénédictions par les prêtres : moissons
  • la mort : les meilleurs emplacements pour les sépultures sont « le plus près possible des gouttières du toit afin d’en recevoir l’eau sanctifiée par l’édifice » [17]. Cet usage s’efface lorsqu’on asperge le cadavre avec de l’eau bénite, à partir du XIIIe siècle. L’inhumation à l’intérieur des édifices religieux est interdite par les conciles. Mais cette interdiction n’est forcément respectée. Le cimetière est un lieu d’asile : les marchés, les foires s’y tiennent ; on y dépose la dîme ; on peut y chercher la protection contre les mauvaises coutumes ; on y trouve des habitations.

Les sacrements

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L’existence des fidèles est rythmée par les sacrements : ne pas les recevoir signifie vivre en marge de la communauté des fidèles et être condamné à l’enfer.

  • le baptême
  • la confirmation est le deuxième sacrement : le jeune doit confirmer les engagements pris pour lui par son parrain et sa marraine au moment de son baptême. Il se pratique à l’âge de raison (7 ans) avec imposition des mains et signe de croix avec huile consacrée par le curé. Dans la pratique, c'est une cérémonie relativement rare[18]
  • le mariage et le divorce : à rédiger
  • l'Eucharistie est célébrée par le prêtre : celui-ci acquiert un pouvoir quasi miraculeux, celui de consacrer les espèces et de participer au mystère de la transsubstantiation.
  • la confession et la pénitence : à rédiger
  • l’extrême-onction pour les malades (viatique)

Conclusion : au cours du Moyen Âge, la paroisse devient le cadre de vie des chrétiens et le rôle du curé s’accroît. Elle permet à l’Église d’encadrer strictement les pratiques religieuses et de contrôler les croyances. Les paroissiens se resserrent autour de leur église.

Notes sur la paroisse

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  1. Michel Aubrun, La paroisse en France, p. 138
  2. Claude Gauvard (dir.), Dictionnaire du Moyen Âge, p. 1049
  3. Michel Aubrun, La paroisse en France, p. 77
  4. Michel Aubrun, La paroisse en France, p. 80
  5. Michel Aubrun, La paroisse en France, p. 80
  6. Michel Aubrun, La paroisse en France, p. 83
  7. Nicole Gonthier, Éducation et culture dans l’Europe occidentale chrétienne, Paris, Ellipses, 1998, p.22
  8. Michel Aubrun, La paroisse en France, p. 110
  9. Jean Favier, Histoire de Paris, ¨Paris, Fayard, 1997, p.115
  10. Nicole Gonthier, Éducation et culture dans l’Europe occidentale chrétienne, Paris, Ellipses, 1998, p.28
  11. Nicole Gonthier, Éducation et culture dans l’Europe occidentale chrétienne, Paris, Ellipses, 1998, p.26 ; Claude Gauvard (dir), Dictionnaire du Moyen Âge, article « prêtre » p.1139
  12. Michel Aubrun, La paroisse en France, p. 7
  13. Nicole Gonthier, Éducation et culture dans l’Europe occidentale chrétienne, Paris, Ellipses, 1998, p.23
  14. Michel Aubrun, La paroisse en France, p. 90
  15. Michel Aubrun, La paroisse en France, p. 131
  16. Michel Aubrun, La paroisse en France, p. 142
  17. Michel Aubrun, La paroisse en France, p. 96
  18. Danièle Alexandre-Bidon, Didier Lett, Les enfants au Moyen Âge, Paris, Hachette, 1997, p.55

Sur le rôle de l’Église

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  • Jérôme Baschet, « Hors de l’Église, point de Salut ! », dans L’Histoire n°305, janvier 2006, pages 36-43

Sur la paroisse

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  • Claude Gauvard, Alain de Libera, Michel Zink (dir.), Dictionnaire du Moyen Âge, Paris, Presses Universitaires de France, 2002.
  • Michel Aubrun, La paroisse en France. Des origines au XVe siècle, Paris, Picard, 1986.
  • Michel Aubrun, Moines, paroisses et paysans, 2000.
  • « La paroisse en France », dans M. Balard, J.-P. Genet, M. Rouche, Le Moyen Âge en Occident, Paris, Hachette Supérieur, 2003, p.183.